Des maux, mes mots.
Quelques coups de crayon perdus sur la page,
Quelques instants capturés,
Des petits envols pour vous guider dans l'univers de La LucIoLe.
lundi 27 juillet 2009
L'arbre et le corps ne firent plus qu'un. J'aime les arbres. Ce serait comme l'écorce d'un chêne: le corps se serait oublié de même qu'il aurait oublier.
je fais beaucoup d'escalade et il y a un peu le même rapport avec le rocher. Quand je reviens sur une voie où j'ai lutté jusqu'à en saigner, mon corps a oublié et veut encore grimper (saigner?). De même le rocher, il est toujours la, sans aucun souvenir de moi.
j'aime beaucoup, surtout la dernière phrase.
RépondreSupprimerje fais beaucoup d'escalade et il y a un peu le même rapport avec le rocher. Quand je reviens sur une voie où j'ai lutté jusqu'à en saigner, mon corps a oublié et veut encore grimper (saigner?). De même le rocher, il est toujours la, sans aucun souvenir de moi.
Et la lutte des amnésiques reprend...
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